Peines perdues
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Auteur: Gilbert Troutet
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Un recueil de vingt et une nouvelles et récits, dont l’intérêt tient surtout à la variété des situations où évoluent les protagonistes. D’une plume alerte, dans un style personnel et imagé, l’auteur vous fait ressentir les émotions et les angoisses de ses personnages, qui sont autant de paysages intérieurs. Les vingt-et-un récits et nouvelles dans cette collection se déroulent soit dans les plaines de la Saskatchewan ou les champs de bataille en Europe.
- Tellement rafraichissant à lire. Je me suis senti emporté par le choix des mots, par le voyage que tu nous fais faire dans un monde que tu réussis tellement bien à partager. Comme un beau rêve... (Jean Regnier)
- Je pense beaucoup de bien de Peines perdues. J’entends ta voix, ton accent. Tous ces récits et toutes ces nouvelles font un petit bijou de livre. Une lecture très intéressante. On se promène dans les Plaines, dans le maquis, à Carcassonne, à Aylmer… Et tu as la finesse d’un bon conteur, ce qui nous fait tourner la page sans hésiter, en anticipant toujours « quelque chose », une surprise, une réponse à une question. (Lysette Brochu)
- Je viens de terminer ton recueil de nouvelles. J’ai été frappé par la simplicité et l’efficacité de ton écriture (« Less is more » disait Mies van der Rohe). Tes histoires sont subtilement amenées vers leur chute ; on y reste suspendu un instant. Sans compter que plusieurs portent un regard à la fois simple et profond sur l’émotion même de vivre. (Raymond Aubin)
- Tu racontes comme tu photographies, avec des images précises et beaucoup de sensibilité. (Monique Trotier)
- J'ai eu du plaisir à lire tes nouvelles écrites avec maîtrise, esprit et suspense sur une variété de sujets. Ça se lit comme autant d'histoires racontées et on en imagine facilement une lecture à voix haute. J'ai particulièrement aimé celles qui vont au-delà de l'anecdote, p. ex. Au pays des loups, Hôtel de la cloche, Jour de noces, Tunnel, etc. Les nouvelles plus longues soutiennent bien l'intérêt. Très touchantes les deux dernières nouvelles, où le « personnel » rejoint « l'universel ». Toutes mes félicitations ! (Henriette Levasseur)
- L’écriture est magnifique. Sensibilité, délicatesse et humanisme. On reconnaît la signature de Gilbert. Fait intéressant, des lieux propres à la région y sont clairement identifiés : le parc de la Gatineau, Val-Tétreau, les abords de la prison de Hull, la baie de la Squaw, Saint-André-Avellin… (Louise Dumoulin)
- Tu dois avoir un sens de l’empathie surdéveloppé pour réussir à rejoindre tous ces personnages. Je me demande si on ne devrait pas ajouter un pluriel à ton nom tellement tu décris de mondes intérieurs. Ton livre m’a transporté dans le temps, les lieux, et les cultures, un genre de carrefour des âmes. Merci pour ce beau voyage. (Maurice Migneault)
- J’ai lu avec plaisir ton ouvrage, qui est très agréable, varié, plein de bonne humeur et de sensibilité. (Pierre Gérard)